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Selon le journal ''[http://www.leparisien.fr/politique/francois-fillon-l-enfance-d-un-meneur-d-hommes-24-11-2010-1163457.php Le Parisien]'', le premier ministre français a été [[chef de troupe]] d'une trentaine de scouts du collège Saint-Michel-des-Perrais (situé en milieu rural, Parigné le Pollin, près du Mans) à partir de 17 ans et ce durant quatre ans. Un de ses assistants de l'époque témoigne « Avec lui, il n'était pas question de déroger à la règle du mouvement scout. » Ce dernier le décrit aussi comme bon gestionnaire, suite à l'erreur d'un intendant qui, durant un camp en Autriche, avait dépensé le budget en une semaine.
Selon le journal ''[http://www.leparisien.fr/politique/francois-fillon-l-enfance-d-un-meneur-d-hommes-24-11-2010-1163457.php Le Parisien]'', le premier ministre français a été [[chef de troupe]] d'une trentaine de scouts du collège Saint-Michel-des-Perrais (situé en milieu rural, Parigné le Pollin, près du Mans) à partir de 17 ans et ce durant quatre ans. Un de ses assistants de l'époque témoigne « Avec lui, il n'était pas question de déroger à la règle du mouvement scout. » Ce dernier le décrit aussi comme bon gestionnaire, suite à l'erreur d'un intendant qui, durant un camp en Autriche, avait dépensé le budget en une semaine.


{{citation|Mes premiers souvenirs, c'est à l'âge de 14-15 ans, j'étais scout sur le circuit et je faisais la distribution des résultats dans les stands. C'était à l'époque du duel entre Ford et Ferrari|Ouest France, à l'occasion des 24 heures du Mans}}


{{citation|Attiré par l'action, il s'engage chez les scouts à l'âge de 17 ans, parce qu'il s'ennuie à l'école. Il veut s'occuper, avoir des responsabilités, se sentir utile. Il demande la direction d'une équipe bien qu'il n'ait pas encore 18 ans. Il insiste auprès de ses parents, qui obtiennent une dérogation pour leur jeune fils.
[...]
Lors du premier camp scout de François, un adolescent se coupe un doigt. Il se tranche littéralement la phalange, qui tombe dans un fossé. Sans céder à la panique générale, François a la présence d'esprit de récupérer le doigt parmi les brins d'herbe. Quand l'équipe arrive à l'hôpital, le chirurgien qui procédera à la greffe félicite le jeune chef scout, dont le sang-froid l'impressionne: «Tu as sauvé le doigt de ton copain!» Cette version racontée par Anne Fillon est tempérée par François, qui ne voit là aucun acte héroïque. «Ma mère a exagéré l'histoire!»|L'express}}
{{Citation|Ce n'est d'ailleurs pas un hasard s'il lui propose, à 17 ans, de reprendre la troupe des scouts du collège. Pendant quatre ans, François Fillon s'occupe d'une trentaine de gamins, avec lesquels il n'a parfois que trois ans d'écart. Le week-end, les réunions au local sont strictes. « Avec lui, il n'était pas question de déroger à la règle du mouvement scout », se souvient Michel, l'« assistant du chef ». L'été, ils emmènent les jeunes marcher en Savoie, en Chartreuse. Une année, ils se lancent dans la descente du Tarn sur des chambres à air de camion. Mais c'est un camp en Autriche qui reste dans toutes les mémoires avec la bourde de l'intendant qui dépense le budget en une semaine et les oblige à se nourrir de pain perdu, de bananes et de champignons les quinze jours suivants. « On a dû faire de gros efforts », confie Michel qui sous-entend sans rire que le Premier ministre a été rompu à gérer des budgets serrés dès le plus jeune âge…|Le parisien}}


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François Fillon
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Naissance : 4 mars 1954

Homme politique scout

Politique.

Personnalité française

France.


Selon le journal Le Parisien, le premier ministre français a été chef de troupe d'une trentaine de scouts du collège Saint-Michel-des-Perrais (situé en milieu rural, Parigné le Pollin, près du Mans) à partir de 17 ans et ce durant quatre ans. Un de ses assistants de l'époque témoigne « Avec lui, il n'était pas question de déroger à la règle du mouvement scout. » Ce dernier le décrit aussi comme bon gestionnaire, suite à l'erreur d'un intendant qui, durant un camp en Autriche, avait dépensé le budget en une semaine.

« Mes premiers souvenirs, c'est à l'âge de 14-15 ans, j'étais scout sur le circuit et je faisais la distribution des résultats dans les stands. C'était à l'époque du duel entre Ford et Ferrari »

Ouest France, à l'occasion des 24 heures du Mans

« Attiré par l'action, il s'engage chez les scouts à l'âge de 17 ans, parce qu'il s'ennuie à l'école. Il veut s'occuper, avoir des responsabilités, se sentir utile. Il demande la direction d'une équipe bien qu'il n'ait pas encore 18 ans. Il insiste auprès de ses parents, qui obtiennent une dérogation pour leur jeune fils. [...] Lors du premier camp scout de François, un adolescent se coupe un doigt. Il se tranche littéralement la phalange, qui tombe dans un fossé. Sans céder à la panique générale, François a la présence d'esprit de récupérer le doigt parmi les brins d'herbe. Quand l'équipe arrive à l'hôpital, le chirurgien qui procédera à la greffe félicite le jeune chef scout, dont le sang-froid l'impressionne: «Tu as sauvé le doigt de ton copain!» Cette version racontée par Anne Fillon est tempérée par François, qui ne voit là aucun acte héroïque. «Ma mère a exagéré l'histoire!» »

L'express

« Ce n'est d'ailleurs pas un hasard s'il lui propose, à 17 ans, de reprendre la troupe des scouts du collège. Pendant quatre ans, François Fillon s'occupe d'une trentaine de gamins, avec lesquels il n'a parfois que trois ans d'écart. Le week-end, les réunions au local sont strictes. « Avec lui, il n'était pas question de déroger à la règle du mouvement scout », se souvient Michel, l'« assistant du chef ». L'été, ils emmènent les jeunes marcher en Savoie, en Chartreuse. Une année, ils se lancent dans la descente du Tarn sur des chambres à air de camion. Mais c'est un camp en Autriche qui reste dans toutes les mémoires avec la bourde de l'intendant qui dépense le budget en une semaine et les oblige à se nourrir de pain perdu, de bananes et de champignons les quinze jours suivants. « On a dû faire de gros efforts », confie Michel qui sous-entend sans rire que le Premier ministre a été rompu à gérer des budgets serrés dès le plus jeune âge… »

Le parisien