Foulards verts
Foulards verts est le nom donné au Groupe SUF de Saint-Jean de Passy, ainsi qu'au journal qui en relate les épopées (Numéro Foulard Verts paru en 1993, à l'occasion de l'anniversaire des 10 ans de la Troupe, présenté par Marc Pérot).
Le groupe est re-né par la fondation de la troupe 26ème, au foulard entièrement vert, à l'occasion d'un camp du camp d'été de la 44ème Gerson, en 1983 tel le réveille du sphinx. En effet, le groupe de Saint-Jean de Passy date de 1926, et a connu certain aléa. A ce camp, le premier CDC de la futur troupe 26ème se tint sous l'impulsion de Rémi Ludagne-Delpon (CT) et du père Castet (en Burlington et arborant sa nouvelle Swatch pour l'occasion), avec l'aimable concours de Geoffroy de Noray, futur premier CP de la Panthère (Panthère à l'assaut), et de Philippe Valdelièvre, futur CP du Chamois (Chamois vers les cîmes). Le Tigre (Tigre fait l'impossible) est né dans le courant de l'année 1984-85.
C'est ainsi que débuta l'épopée du Groupe 26ème avec pour thème de l'année "Caritas", devenu depuis la devise de la Troupe, comme pour signifier que c'est en donnant que l'ont reçoit, même avec de faible moyen.
Le camp de Pâques à Malicorne (Sarthe) présenta l'avantage de ne dégoûter personne (temps chaud et sec!); le Grand Jeu associa la jeune troupe à sa soeur nourricière, la 44ème. Du comportement exemplaire de la Troupe, lui vint le surnom mérité de "la Troupe 26ème, LA MEILLEUR". Ce premier succès prépara le camp d'été de Bort les Orgues (Corrèze) qui souda pour longtemps une Génération Foulards Verts dans le sang, la sueur et les larmes.
La générosité des bâtisseurs fut d'une extrême fécondité : le Groupe passa en 10 ans d'une trope fragile de deux patrouilles de nobarts à deux troupes, trois meutes, une ronde, une route discrète et une futur compagnie. le foulard de la Troupe 226ème et de la meute 226ème ont une bande noir en bordure de foulard. La meute 326ème a eu deux liserés noir en bordure de foulard.
Les 10 ans du Groupe ont été l'occasion de rassembler le week-end du 25 et 26 septembre 1993 les pierres vivantes, dispersées par les années pour vivre leur Promesse un peu partout, pour renouer les liens invisibles de la fraternité scoute, évoquer les souvenir grandioses, retrouver le souffle qui les a unis pendant une décennie.
