« Coq Gaulois » : différence entre les versions

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Lee '''Coq gaulois''' était une ancienne décoration des [[Eclaireurs unionistes de France]]
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C'était un insigne d'or décerné par le mouvement unioniste pour un service important et de grande valeur morale. Il était donné pour un acte de courage au péril de la vie du décoré.


Cet insigne parait extremement rare.
Le '''Coq de France''' est une ancienne décoration des [[Éclaireurs unionistes de France]] créée en [[1919]]<ref name=EU>''[[L'éclaireur unioniste|L’Éclaireur Unioniste]]'', 6{{e}} année, n° 8-9, août-septembre [[1919]], p.126.</ref> et en usage jusque dans les années 1960<ref>''[[Sur les traces|Sur les Traces]]'', [[1960]], p.100.</ref>.
 
À sa création, il est un insigne d’or décerné, après enquête, du Commissaire Régional, par une décision sans appel de la Commission Nationale, aux éclaireurs qui remplissent les conditions suivantes :
# Avoir servi sans relâche avec un complet dévouement le Mouvement des Éclaireurs Unionistes pendant au moins cinq années
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Il pouvait exceptionnellement être décerné en dehors des cas énumérés pour des cas de bravoure renouvelés au moins trois fois.
 
 
Puis vers la moitié des années 1920, son obtention se simplifie et une version en argent peut être décernée (elle disparaît dans les années 1930).
 
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== Voir aussi ==
*[[Alouette gauloise|L’Alouette Gauloise]]
*[[Svastika]]
 
 
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[[Catégorie:Décoration]]
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Version du 9 juin 2017 à 23:19

Coq de France

Medal.svg Décoration


Le Coq de France est une ancienne décoration des Éclaireurs unionistes de France créée en 1919[1] et en usage jusque dans les années 1960[2].

À sa création, il est un insigne d’or décerné, après enquête, du Commissaire Régional, par une décision sans appel de la Commission Nationale, aux éclaireurs qui remplissent les conditions suivantes :

  1. Avoir servi sans relâche avec un complet dévouement le Mouvement des Éclaireurs Unionistes pendant au moins cinq années
  2. Avoir obtenu le Diplôme d’or et trois initiations
  3. S’être signalé par un acte de courage (sauvetage, etc.) effectué au péril de leur vie ou avoir mérité pendant trois années consécutives un rapport spécial de leurs Chefs à la Commission Nationale

Il pouvait exceptionnellement être décerné en dehors des cas énumérés pour des cas de bravoure renouvelés au moins trois fois.


Puis vers la moitié des années 1920, son obtention se simplifie et une version en argent peut être décernée (elle disparaît dans les années 1930).

« Le Coq de France (argent, or) est décerné par une décision sans appel du C.G.S., et après enquête du Commissaire Régional, à tout éclaireur ou chef qui se sera signalé par un acte de courage (sauvetage, etc.) effectué au péril de sa vie.

L’insigne est en argent ou en or, selon la valeur du ou des actes de courage, appréciée par le C.G.S.  »

Manuel de l’Éclaireur, 6e édition, p.251.

Il se porte sur la poche gauche, ou au dessus, mais paraît extrêmement rare.

Il fut remis à Georges Rémy, CT de Hagondange en 1952 pour le sauvetage d’une fillette[3].


Voir aussi



Éclaireurs unionistes de France Cet article fait partie de la série
Éclaireurs unionistes de France
Éclaireurs unionistes de France
Président : Liste des présidents des éclaireurs unionistes de France
Commissaire national : Liste des commissaires nationaux des éclaireurs unionistes de France
Commissaire2 : (aucun)
Tranches d'âge : LouveteauxÉclaireursRoutiers

voir Fédération Française des Éclaireuses pour les filles.

Organes : {{{organes}}}
Évènements : TrivauxWalbach (1936)Walbach (1951)Le Malzieu (1961) • Conseils Nationaux
Centres : CappyLa Croix St OuenLabahouListe des sièges
Publications : Manuels : Manuel de l'éclaireur puis Sur les tracesPistes de Jungle

Revues : L’Éclaireur Unioniste puis Journal des éclaireurs puis Sois PrêtMowglil’ÉquipeLe lien
Autres : Le CoqLe NITAPCalendriers

Histoire : UCJGSamuel WilliamsonHenri et Charles BonnamauxJacques Guérin-DesjardinsListe des affiliations

Éclaireuses et Éclaireurs Unionistes de France

Associations adhérentes : {{{adhérents}}}
Personnalités : {{{personnalités}}}
Statuts et Règlements IntérieursDrapeau

Notes et références


  1. L’Éclaireur Unioniste, 6e année, n° 8-9, août-septembre 1919, p.126.
  2. Sur les Traces, 1960, p.100.
  3. Alain Morley, L’Aventure Unioniste : 1970-1999, édition Les Tisons, 1999.