« Constance Marx » : différence entre les versions
Aucun résumé des modifications |
(a part une vague correspondance de nom et de dates, c'est faible. Mieux vaut passer ça en discussion en attendant une certitude.) |
||
(4 versions intermédiaires par un autre utilisateur non affichées) | |||
Ligne 18 : | Ligne 18 : | ||
'''Constance Marx''' aida à la naissance du guidisme en France. | '''Constance Marx''' aida à la naissance du guidisme en France. | ||
Cette instructrice est détachée | Cette instructrice anglaise est détachée pour aider à la relance du scoutisme féminin en France, notamment au point de vue technique. Elle appartient du [[QG]] de Londres et parait dépendre de [[Gladys Bretherton]].Elle parle très bien français et a déjà été en relation avec [[Renée de Montmort]]. | ||
Toutefois le rôle de cette institutrice anglicane qui envisage une [[Fédération française des éclaireuses]] avec une branche catholique inquiète la hiérarchie ecclésiastique. | |||
Les réunions du [[Lyceum club]] où participaient depuis novembre 1922 notamment [[Marie Diémer]] et [[Françoise de Cherisey]] sont donc interrompues en janvier 1923 sous l'influence du cardinal [[Louis-Ernest Dubois]]. | |||
{{portail personnalités}} | {{portail personnalités}} |
Version du 14 avril 2020 à 18:44
Cet article est une ébauche concernant une personnalité et a besoin d'être illustré. Vous êtes invités à partager vos connaissances en le modifiant. • Comment modifier une page ? |
Constance Marx aida à la naissance du guidisme en France.
Cette instructrice anglaise est détachée pour aider à la relance du scoutisme féminin en France, notamment au point de vue technique. Elle appartient du QG de Londres et parait dépendre de Gladys Bretherton.Elle parle très bien français et a déjà été en relation avec Renée de Montmort.
Toutefois le rôle de cette institutrice anglicane qui envisage une Fédération française des éclaireuses avec une branche catholique inquiète la hiérarchie ecclésiastique.
Les réunions du Lyceum club où participaient depuis novembre 1922 notamment Marie Diémer et Françoise de Cherisey sont donc interrompues en janvier 1923 sous l'influence du cardinal Louis-Ernest Dubois.