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Fils de l'historien Léonce Celier, '''Charles Celier''' est scout à Versailles avec l’abbé Richaud, puis animateur au «[[104]] » et chef à la 25{{e}} Paris des [[Scouts de France]].
Fils de l'historien Léonce Celier, '''Charles Celier''' est scout à Versailles avec l’abbé [[Paul Richaud]], puis animateur au «[[104]] » et chef à la 25{{e}} Paris des [[Scouts de France]].


Dans les années 1930, Célier rejoint le [[Q.G]] comme [[Commissaire]] National Éclaireur adjoint (CNEa) de [[Michel Blanchon]], puis comme membre du Conseil National, chargé des finances — il appartient au Conseil d’État.  
Dans les années 1930, Célier rejoint le [[Q.G]] comme [[Commissaire]] National Éclaireur adjoint (CNEa) de [[Michel Blanchon]], puis comme membre du Conseil National, chargé des finances — il appartient au Conseil d’État.  

Version du 11 mai 2016 à 21:04

Charles Celier
Pas d'image pour cette personne pour le moment

Commissaire National Éclaireur adjoint des SDF
1912 · 1er novembre 1992

Personnalité décorée du loup de bronze

Loup de bronze.

Personnalité scouts de France

Scouts de France.

Personnalité de l'OMMS

Organisation Mondiale du Mouvement Scout.

Personnalité française

France.

Fils de l'historien Léonce Celier, Charles Celier est scout à Versailles avec l’abbé Paul Richaud, puis animateur au «104 » et chef à la 25e Paris des Scouts de France.

Dans les années 1930, Célier rejoint le Q.G comme Commissaire National Éclaireur adjoint (CNEa) de Michel Blanchon, puis comme membre du Conseil National, chargé des finances — il appartient au Conseil d’État.

Début 1939, il est nommé Commissaire Assistant du C.N. (Scoutisme)[1].

A Vichy, il est directeur de cabinet du ministre Paul Baudouin, peut-être à la suggestion de Henry Dhavernas[réf. nécessaire].

Alors qu’il devient adjoint de Pierre Delsuc en 1944, il s'oppose rapidement à lui. Après la guerre, commissaire international adjoint du SF, il est envoyé aux Etats Unis pour y étudier leur scoutisme.

Devenu avocat d'affaires, personnalité discrète mais influente, il semble avoir partagé les idées sociales et politiques de Pierre Goutet. Il aurait monté en 1956, l'éviction du Général Joseph Lafont, du Père Marcel Forestier, Michel Blanchon, etc., du Conseil national.

En 1973, Célier devient commissaire international et est chargé par Émile-Xavier Visseaux de renouer les liens avec les autres associations et devient membre du bureau mondial de l'OMMS. La même année, il reçoit le 75e loup de Bronze.

Il meurt le 1er novembre 1992. Dernier paradoxe, ses archives sont à Riaumont.


Voir aussi



Notes et références


  1. Le Chef, nomination du 1er janvier 1939 au 1er février 1939.