« César Geoffray » : différence entre les versions
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Parallèlement, son ambition de fondateur ne fait que croître : en [[1932]], il prend la direction de la Lyre Ouvrière Bressane, en [[1936]] la sous-direction des « Chanteurs de Lyon ». En [[1940]], il fonde la chorale du [[Scoutisme Français]], à Lyon, et il est maître national de chant des [[Scouts de France]] de [[1942]] à [[1955]] après avoir fait sa [[promesse]] à plus de 40 ans. | Parallèlement, son ambition de fondateur ne fait que croître : en [[1932]], il prend la direction de la Lyre Ouvrière Bressane, en [[1936]] la sous-direction des « Chanteurs de Lyon ». En [[1940]], il fonde la chorale du [[Scoutisme Français]], à Lyon, et il est maître national de chant des [[Scouts de France]] de [[1942]] à [[1955]] après avoir fait sa [[promesse]] à plus de 40 ans. | ||
De cette implication dans le Scoutisme, naît le mouvement « A Cœur Joie »,d'après le nom d'un livre de chant [[SdF]], dont il est président-fondateur et qui tient ses premières "choralies" à [[Chamarande]] (!) en [[1950]]. | De cette implication dans le Scoutisme, naît le mouvement « A Cœur Joie »,d'après le nom d'un livre de chant [[SdF]], dont il est président-fondateur et qui tient ses premières "choralies" à [[Chamarande (centre de formation)|Chamarande]] (!) en [[1950]]. | ||
Le cheminement artistique de César Geoffray, homme passionné par le chant choral en commun, reste marqué par deux rencontres majeures : celle de Florent Schmitt au conservatoire de Lyon : César Geoffray reconnaît qu'il lui a transmis les secrets de son admirable technique musicale : clarté en musique, clarté de la mélodie, de la polyphonie, amour de la musique, et celle d'Albert Gleizes à Moly-Sabata, pour trouver la juste application de la technique du premier, dans le respect de ses principes - qui resteront fortement ancrés dans l'œuvre et la vie de César Geoffray. | Le cheminement artistique de César Geoffray, homme passionné par le chant choral en commun, reste marqué par deux rencontres majeures : celle de Florent Schmitt au conservatoire de Lyon : César Geoffray reconnaît qu'il lui a transmis les secrets de son admirable technique musicale : clarté en musique, clarté de la mélodie, de la polyphonie, amour de la musique, et celle d'Albert Gleizes à Moly-Sabata, pour trouver la juste application de la technique du premier, dans le respect de ses principes - qui resteront fortement ancrés dans l'œuvre et la vie de César Geoffray. |