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Version du 11 juin 2012 à 09:58

Association des scouts du Canada

Association des scouts du Canada


Fondation : 1961
Disparition :
Fondateurs :
Président : Jean-François Champagne
Commissaire national : Robert Nowlan
Commissaire général scout: {{{commissairescout}}}
Commissaire générale guide: {{{commissaireguide}}}
Siège : 7331, rue Saint-Denis, Montréal (Québec)
Site web : http://www.scoutsducanada.ca
E-mail : {{{mail}}}
Effectifs : membres.
Effectifs : jeunes.
{{{effectif responsables}}} responsables.

mouvement catholique

Mouvement catholique.
Organisation mondiale du mouvement scout Organisation mondiale du mouvement scout
Conférence internationale catholique du scoutisme Conférence internationale catholique du scoutisme


L'Association des Scouts du Canada (ASC) est l'association scoute francophone du Canada. Elle est reconnue comme organisation nationale par l'Organisation mondiale du mouvement scout, par l'entremise d'une entente avec Scouts Canada. Elle est officiellement de confession catholique, mais professe une ouverture qui s'applique par l'admission de jeunes ou même d'unités complètes d'autres confessions.


Structure

Affiliations mondiales

L'Association des scouts du Canada est membre, par l'entremise de Scouts Canada, de l'Organisation mondiale du mouvement scout. Elle est aussi membre, de plein droit, de la Conférence internationale catholique du scoutisme.

Palier national

L'Assemblée générale se réunit ordinairement une fois par année, lors des Assises annuelles. Elle est notamment responsable d'élire les membres du Conseil national et de fixer les orientations et le plan d'action annuel. Elle est composée des 40 districts reconnus par l'Association, des membres du Conseil national et d'un représentant de Scouts Canada. Chaque district bénéficie de deux votes, auxquels peuvent s'ajouter un certain nombre de votes en fonction de l'effectif du district. Cependant, un district doit toujours utiliser tous ses votes de la même façon. Outre les districts, les membres du Conseil national, à l'exception du directeur général, et le représentant de Scouts Canada disposent chacun d'un droit de vote.

Le Conseil national est responsable de l'administration de l'Association et exerce tous ses pouvoirs entre les réunions de l'Assemblée générale. Il est formé de quatre personnes élues par l'Assemblée générale, dont le président et le trésorier de l'Association, du directeur général, du commissaire national et des présidents des fédérations.

Le Commissariat national est responsable de la conception et de la mise en œuvre des programmes de l'Association. Il est composé du commissaire national, élu par l'Assemblée générale, de jusqu'à cinq adjoints nommés par le Conseil national sur recommandation du Commissaire national, et de trois commissaires de district, représentant les petits (moins de 150 membres), les moyens (de 150 à 799 membres) et les gros (800 membres et plus) districts. Les représentants sont élus à l'Assemblée générale annuelle par les districts présents de leur classe démographique.

Palier régional : les fédérations

Les fédérations sont des organismes mandataires œuvrant sur une partie du territoire canadien. L'Association peut leur déléguer certaines responsabilités quant à l'application de ses politiques et décisions, ou la dispense de services aux districts.

L'Association reconnaît quatre fédérations: la Fédération québécoise du scoutisme, la Fédération des scouts de l'Ontario, la Fédération des scouts de l'Atlantique et la Fédération des scouts de l'Ouest. Cependant, depuis les États généraux du scoutisme francophone canadien et l'application des conclusions de son rapport, les fédérations ont été mises en veilleuse. Leur assemblée générale se réunit néanmoins lors des Assises annuelles, afin, notamment, d'élire leur président, qui siégera au Conseil national de l'Association.

Palier local: les districts et les groupes

L'Association est divisée en 40 districts, chacun responsable de l'application des politiques et des programmes de l'ASC sur une partie de son territoire. Chaque district regroupe un ou plusieurs groupes locaux, et s'occupe de leur dispenser certains services. Les plus gros districts sont parfois divisés en zones géographiques.

Chaque district est dirigé par un Conseil de district. La structure du Conseil et du Commissariat de district varie d'un district à l'autre. Cependant, tous les districts ont un président et un commissaire, qui les représentent auprès de l'Association.


Circle-icons-magnifyingglass.svg Voir l’article détaillé : District des scouts du Canada



Le groupe est le palier le plus près des membres individuels. Il rassemble les unités de chacune des branches sur un territoire donné, souvent un quartier ou une municipalité.


Circle-icons-magnifyingglass.svg Voir l’article détaillé : Groupe local




Historique

L’Association des Scouts du Canada existe depuis 1961.



Circle-icons-magnifyingglass.svg Voir l’article détaillé : Histoire du scoutisme canadien-français



Le scoutisme canadien-français avant l'ASC

À partir de 1911, les premiers scouts canadiens-français connus datent de 1911. L'opposition de l'Église catholique empêchant alors toute possibilité d'un mouvement scout francophone canadien, ceux-ci se joignaient aux unités anglophones du Canadian General Council.[1] Au cours des années 1920, l'Église change graduellement son approche au début fort réticente (du fait de l'interconfessionnalisme, et des risques de naturalisme, voir d'influence franc-maçonne...)

Alors que des troupes francophones commencent à émerger[2], au Québec, c'est en 1925, à la paroisse Saint-Antoine de Longueuil, que Georges-Henri Sainte-Marie, instituteur, décida de fonder sa propre troupe, parrainée par la troupe Scouts de France 19ème Paris, et non affiliée à la Boy Scouts of Canada. L'année 1926 va ainsi voir l'émergence d'un scoutisme catholique, qui reçoit l'appui de l'abbé Lionel Groulx, figure importante du nationalisme canadien-français, et de l'archevêque de Québec, le Cardinal Rodrigue Villeneuve. En mars 1926, le Père jésuite Adélard Dugré publie une brochure[3] intitulée "Éclaireurs Canadiens-Français". En juillet, l’Action Française encourage la création du mouvement Scout à Montréal. En septembre, les deux frères Guido et Philippe Morel fondent les premières troupes sur l'île de Montréal : d'abord dans le quartier ouvrier de Saint-Jean-Berchmans, et puis dans le quartier plus aisé de l'Immaculée-Conception.

Un premier regroupement, la Fédération catholique des éclaireurs canadiens-français, est fondé en 1928 et rassemble des scouts francophones dans plusieurs diocèses du Québec et du Canada. En 1934, la FCECF fusionne avec les associations diocésaines de Québec et Trois-Rivières pour créer la Fédération des scouts catholiques de la Province de Québec. Affiliée au CGC, la nouvelle Fédération ne pourra toutefois regrouper que les unités québécoises.

La fondation de l'ASC

Dès la fin des années 1940, les scouts francophones de plusieurs diocèses hors Québec cherchent à s'affilier à la FSCPQ. C'est de ce besoin de regrouper les scouts francophones sur une base canadienne que naîtra l'ASC.

En octobre 1960, les évêques catholiques francophones du Canada créent un Conseil général canadien des scouts et des guides catholiques, formé de représentants de l'Ouest, de l'Ontario, du Québec et des Maritimes. En mars 1961, le Conseil, lors de sa seconde réunion, crée une commission scoute et une commission guide, qui formeront chacun un nouvel organisme[4], avec un exécutif présidé par Charles D'Amour, et un commissaire national, Gérard Corbeil. Appuyée sans réserve par la Fédération québécoise, la nouvelle Association cherche dès lors à conclure une nouvelle entente avec la Boy scouts of Canada et à obtenir une charte fédérale d'incorporation.

Après plusieurs années de négociations difficiles, que le général Georges Vanier a largement contribué à faire avancer, un compris est forgé. L'entente, signée le 22 février 1967, précise que l'ASC s'adresse « aux adultes et aux garçons catholiques romains d'expression française » alors que la BSC peut recruter chez tous ceux qui respectent ses exigences. En outre, chaque organisation devra conserver ses caractéristiques propres, comme l'uniforme. Au niveau international, l'ASC sera reconnue par l'OMMS et pourra participer aux instances internationales « par l'entremise » de la BSC, sauf pour la Conférence internationale catholique du scoutisme, où l'Association est membre de plein droit. Une loi, adoptée par le Parlement canadien et sanctionnée le 9 juillet 1969, viendra officialiser la création de l'Association des scouts du Canada[5].

1965-1975 : Une décennie de réformes

Foulard national

À partir de 1965, l'Association entame d'importantes réformes qui façonneront le scoutisme d'aujourd'hui. En 1966 elle crée la branche des Pionniers, pour les 14-17 ans. Cette initiative marque l'introduction de la pédagogie du projet à l'ASC, une méthode qui sera graduellement appliquée à toutes les branches.

Plusieurs traditions scoutes sont aussi mises à jour et adaptées : l'uniforme est simplifié, la Loi scoute est aussi réécrite et, en 1966, le foulard national bleu liséré jaune est adopté. Au plan organisationnel, des documents sur la formation sont produits, de nouveaux règlements généraux sont adoptés, et une assemblée générale des districts (qui remplacent les diocèses) est instituée. L'ancienne Fédération québécoise met fin à ses opérations et mandate l'Association pour agir en son nom. Enfin, tout en conservant son statut confessionnel, le scoutisme canadien-français se laïcise. De moins en moins d'unités ont des aumôniers, des personnes d'autres confessions sont acceptées et, surtout, l'épiscopat canadien prend une part beaucoup moins active aux décisions de l'Association.

Une telle vague de réformes ne pouvait manquer de faire des mécontents. Certains responsables qui n'acceptent pas ces changements quittent tout simplement le mouvement, alors que d'autres tentent de les endiguer. En 1973, un groupe de dissidents décident de fonder une nouvelle organisation, inspirée des Scouts d'Europe, qui deviendra l'Association des éclaireurs Baden-Powell. Leur but principal est de maintenir l'importance de la religion catholique et l'unité de la branche éclaireur.

Création des fédérations et mixité

Vers le milieu des années 70, afin de présenter un interlocuteur québécois au gouvernement provincial, l'ASC décide d'amorcer un processus de décentralisation qui mènera à la création de quatre fédérations régionales : le Québec, l'Ontario), l'Ouest et les Maritimes. Plusieurs services, responsabilités et programmes seront alors transférés vers les fédérations.

En 1977, l'ASC instaure la branche des Castors, pour les 7-8 ans. Cette branche se répandra, dans un premier temps, dans les fédérations de l'Ouest, de l'Ontario et de l'Atlantique, avant d'être plus tard implantée au Québec.

Tout au long des années 70, les structures conjointes entre les scouts et les guides, au niveau local, se multiplièrent : on trouvait plus commode d'avoir un seul comité de gestion pour toutes les unités guides et scoutes. À partir de 1974, cette pratique s'introduit au niveau des districts et, en 1980, la Fédération des scouts catholiques de la Province de Québec fusionne avec sa consœur guide pour former la Fédération québécoise du guidisme et du scoutisme.

Depuis plusieurs années, la mixité était acceptée et courante chez les castors et les scouts-aînés. À compter de septembre 1991, toutes les unités pourront être coéduquées. D'ailleurs, pour plusieurs unités de pionniers, c'était déjà chose faite.

Recentralisation et intégration des guides

En 1991, l'Association souhaite reprendre une partie des responsabilités laissées aux fédérations, et propose un projet de modification des règlements généraux. Ce projet, difficilement accepté par la FQGS, entraînera brièvement son retrait de l'ASC, en 1992. C'est toutefois le regroupement national qui aura gain de cause, après quelques mois de conflit.

En 1993, les Girl Guides of Canada décident d'exclure les hommes qui animent ou administrent le mouvement guide. Plutôt que d'appliquer une décision qui affaiblirait ou ferait disparaître plusieurs unités, les Guides francophones du Canada refusent d'obtempérer et, en septembre 1994, sont expulsées par les GGC. Souhaitant que leurs membres conservent une affiliation nationale et mondiale, les GFC se sabordent et recommandent à leurs membres de s'affilier à l'ASC sur une base individuelle. Durant les deux années suivantes, l'ASC aménage une place pour quelque 11 000 nouveaux membres. Ce dossier, confié à Nicole Rondeau[6], mènera à la création de toutes nouvelles unités féminines scoutes, les hirondelles, les exploratrices et les intrépides.

Modernisation de l'ASC

Dès 1988, l'Association entreprend de mettre à jour les manuels pour l'ensemble de ses branches masculines. Les programmes de formation des animateurs, des cadres et des formateurs sont aussi révisés. De nouveaux critères sont élaborés pour le badge Annapurna et l'ASC récupère la gestion du programme Ours polaire, laissé aux districts depuis plusieurs années.

À partir de 1995, d'autres changements sont apportés, le plus visible étant probablement celui de l'uniforme. En outre, l'ASC prend le virage de la formation modulaire des adultes. Au niveau spirituel, la laïcisation se poursuit. L'ASC remplace son approche pastorale par une approche de développement spirituel.

En 1997, la branche scouts-aînés est entièrement revue, et on introduit notamment le badge Oméga. En 1999, l'ASC publie le manuel Cap sur le large, une proposition de scoutisme marin pour les 11-14 et les 14-17 ans.

Les États généraux du scoutisme francophone canadien

Depuis 1982, l'ASC vit un déclin démographique inquiétant, interrompu en 1994 par l'arrivée des 11 000 anciennes guides. En février 2009 , on y dénombrait plus que 13 289 jeunes. Devant cette baisse généralisée, l'ASC décide de convoquer des États généraux afin de repenser le scoutisme francophone canadien. Après plusieurs années de consultation et d'étude, plusieurs conclusions sont mises en place.

Au niveau des structures, les quatre fédérations sont mises en veilleuse. L'Assemblée générale sera dorénavant constituée par les districts. D'autres mesures visent notamment un allègement des structures, une adaptation de la méthode scoute selon les groupes d'âge, une formation plus ciblée pour les adultes, une mise à jour des programmes, la mise en œuvre d'un plan de communication, etc.


Les différentes branches


Circle-icons-magnifyingglass.svg Voir l’article détaillé : Programme des jeunes de l'ASC



L'Association des scouts du Canada offre un programme des jeunes qui s'étend sur cinq groupes d'âge : 7-8 ans, 9-11 ans, 11-14 ans, 14-17 ans et 17-21 ans. Pour les trois premiers groupes, deux propositions sont offertes : une pour les unités homogènes masculines et les unités coéduquées, et une pour les unités homogènes féminines. Pour les deux derniers groupes d'âge, une seule proposition est offerte pour toutes les unités. L'ASC applique la pédagogie du projet dans toutes ses unités.

Les castors et les hirondelles : 7-8 ans

La branche des castors est la proposition masculine et mixte. Les jeunes évoluent dans un cadre symbolique fourni par la bande dessinée Les Aventures de Cartouche et Namor.

La branche des hirondelles est la proposition féminine. Leur cadre symbolique vient du volume Les Aventures de Plume.

Les louveteaux et les exploratrices : 9-11 ans

La proposition des louveteaux s'adresse aux unités masculines et mixtes. Le Livre de la jungle, de Rudyard Kipling, a servi de base au cadre symbolique de cette branche.

La proposition pour les unités composées uniquement de filles se nomme Exploratrices. Le cadre symbolique est fourni par la publication de l'ASC intitulée Incroyable aventure dans le cyberespace.

Les éclaireurs et les intrépides : 11-14 ans

L'ASC propose aux unités masculines et mixtes la branche des éclaireurs.

Les jeunes évoluant dans une unité féminine de 11 à 14 ans se voient proposer la pédagogie des intrépides, basée sur le journalisme.

Les pionniers et les pionnières : 14-17 ans

Les unités formées de jeunes de 14 à 17 ans se voient proposer la formule pédagogique des pionniers, contenue dans le manuel Cimes.

Les scouts-aînés : 17-21 ans

La branche des scouts-aînés est la proposition pédagogique pour les jeunes adultes de l'ASC.


Autres programmes

Brevet Ours polaire

Ours polaire - Camping lourd



Circle-icons-magnifyingglass.svg Voir l’article détaillé : Camp ours polaire



Créé au cours des années 50, ce brevet vient confirmer une expérience et une formation en camping d'hiver. S'adressant aux branches 11-14 ans, 14-17 ans et 17-21 ans, il comporte trois volets, pour chacun desquelles la couleur du badge est différente : le brevet vert est obtenu après une formation et une expérience en camping lourd sous tente chauffée; le brevet rouge vient sanctionner une expérience et une formation en camping léger fixe; le brevet bleu vise une formation et une expérience en camping léger itinérant.

Des moniteurs sont accrédités par l'ASC pour former les adultes qui accompagneront les jeunes dans leur expérience.

Formation


Circle-icons-magnifyingglass.svg Voir l’article détaillé : Formation des adultes (ASC)



L'approche de l'ASC quant à la formation des adultes est basée sur la formation modulaire. Cinq types de modules sont offerts : les modules généraux obligatoires, les modules généraux optionnels, les modules obligatoires pour l'obtention du Badge de bois, les modules obligatoires pour l'obtention du Nœud de Cabestan violet, et les modules de formation des formateurs.

Un adulte peut suivre deux parcours, selon qu'il œuvre comme animateur ou comme gestionnaire, menant respectivement au Badge de bois et au Nœud de Cabestan violet. Des brevets intermédiaires sont remis après quinze modules pour les animateurs, après cinq et quinze modules pour les gestionnaires. En outre, une personne ayant reçu le Badge de bois ou le Nœud de Cabestan violet peut entreprendre une démarche en vue de devenir formateur. Après avoir obtenu les modules appropriés, il obtient son Nœud de Tisserand, l'insigne des formateurs brevetés.

Le programme de décorations et les prix


Circle-icons-magnifyingglass.svg Voir l’article détaillé : Prix et décorations de l'Association des scouts du Canada



En plus d'inciter la reconnaissance des adultes impliqués au sein du scoutisme dans les divers paliers inférieurs (les fédérations, les districts et les groupes locaux), l'ASC gère un programme national de décorations visant à reconnaître divers aspects de l'implication adulte ou jeune dans le scoutisme. Il est à noter que certains éléments du programme de décoration sont remis aux jeunes, aux adultes ou aux deux. Voici les éléments du programme :


Publications


Circle-icons-magnifyingglass.svg Voir l’article détaillé : Liste des publications de l'ASC



L'ASC a publié, au fil des années, un grand nombre de publications afin d'encadrer, soutenir et développer le scoutisme canadien-français. On peut les regrouper en trois catégories générales : les livres méthodologiques, les périodiques, et les autres publications.

Les publications méthodologiques inclus les manuels strictement méthodologiques, contenant la proposition pédagogique officielle pour chaque branche, et qui s'adressent aux animateurs et aux jeunes des pionniers et des scouts-aînés, et aux animateurs seulement chez les branches plus jeunes. Ces dernières ont aussi chacune un carnet de progression. On compte aussi, dans cette catégorie, les livres de support, publiés pour servir d'appoint ou offrir un cadre symbolique à certaines branches.

Au niveau des périodiques, l'ASC ne publie actuellement que son bulletin de liaison, Scouts en action!.

Enfin, les autres publications comptent à la fois un livre historique, des livres sur le développement spirituel et des livres sur certaines activités scoutes.


Liens internes

Liens externes

Sources

Denis Poulet (2001). Scouts un jour ! - Une histoire du scoutisme canadien-français, Montréal, Association des scouts du Canada, 175 p.


Notes et références


  1. Le Conseil général canadien, à l'époque une division de l'association britannique, deviendra éventuellement la Boy Scouts of Canada, aujourd'hui Scouts Canada.
  2. Une première troupe francophone, affiliée à l'organisation anglophone, est fondée à Ottawa, en 1918
  3. Cette étude conclue que le scoutisme peut être valable pour les Canadiens-Français à condition d'être adapté, axé sur le patriotisme et l'amour du Canada-Français et séparé de la Scouts Canada.
  4. Les membres fondateurs de l'organisation scoute sont au nombre de dix: Charles D'Amour et l'abbé Donat Albert (Maritimes); Jean-Marie Poitras, Gérard Corbeil et Mgr Maurice Patry (Québec); Mgr Jacques Landriault, Paul McNicoll et Robert Bélanger (Ontario); l'abbé Félicien Juneau et Herménégilde Dubé (Ouest)
  5. Le nom Scouts catholiques du Canada a été changé pour Association des scouts du Canada. L'abandon de l'épithète « catholique » ne change toutefois pas le statut confessionnel de l'Association.
  6. Mme Rondeau deviendra par la suite la première commissaire au Programme des jeunes de l'ASC, puis la première commissaire nationale féminine du scoutisme canadien


Association des scouts du Canada Cet article fait partie de la série
Association des scouts du Canada
Association des scouts du Canada
Président : Manon Lapointe
Commissaire national : Nathalie Paré
Commissaire2 : (aucun)
Tranches d'âge : CastorsHirondellesLouveteauxExploratricesÉclaireursIntrépidesAventuriersPionniersRoutiers
Organes : {{{organes}}}
Évènements : Les États générauxLes Assises annuelles
Centres : {{{centres}}}
Publications : Meute en chasseCimesViens explorer!Scouts un jour !AzimutsCalendriersToutes les publications ...
Histoire : Histoire du scoutisme canadien-français
Associations adhérentes : {{{adhérents}}}
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