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Il consacra beaucoup de son temps à défendre le Scoutisme face à une église parfois très réfractaire. On retiendra particulièrement son voyage à Rome en [[1929]] - qui fût un succès - où il alla présenter directement au pape Pie XI les bienfaits du scoutisme catholique en France.
Il consacra beaucoup de son temps à défendre le Scoutisme face à une église parfois très réfractaire, il rencontra donc la quasi totalité des évêques de France. On retiendra aussi son voyage à Rome en [[1929]] - qui fût un succès - où il alla présenter directement au pape Pie XI les bienfaits du scoutisme catholique en France.


Il assiste aupremier cours de Chamarande, qui se déroule du 31 mars au 9 avril 1923. Le père Sevin a noté combien sa présence,
ses conseils et ses instructions furent un encouragement précieux pour tous les scouts de la 1° Chamarande. Lors du rallye du 4 novembre 1923, en présence du Commissaire Hubert Martin, Directeur du Bureau International et bras droit de Baden- Powell, le général de Salins ne craint pas de déclarer : « Certaines personnes, peu averties de notre oeuvre, s’étonnent cependant du nombre relativement restreint de nos groupements : 152 troupes affiliées, 60 en formation. C’est qu’elles connaissent mal le
Scoutisme en général, et le Scoutisme catholique en particulier... Nous voulons que nos garçons soient des chrétiens d’élite, des
chevaliers modernes, toujours prêts à servir Dieu, la Patrie, la famille. Un tel objet impose un travail en profondeur,
inconciliable avec une trop rapide extension en surface. Celle-ci viendra plus tard, tout naturellement, à son heure. »


Il décèdera en [[1936]] et fut enterré en uniforme Scout, comme il l'avait demandé.
 
Le général DE SALINS  préside le Conseil d’administration et le Comité de règlement qui dirige et centralise toutes les activités
des Scouts de France. En 1925, il met sur pied le premier Congrès National des Chefs Scouts à Dijon. En août 1926, il représente,
avec le père Sevin, la jeune Fédération au Congrès international de Kandersteg. Les [[SDF]] comptent alors 20 provinces, plus de 50 districts, 395 unités.
 
Il décède en [[1936]] et est enterré en uniforme Scout, comme il l'avait demandé.





Version du 8 avril 2008 à 16:05

Modèle:Ébauche personnalité

Arthur Guyot de Salins
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Chef-Scout des Scouts de France.
1875 · 1936

Personnalité scouts de France

Scouts de France.

Personnalité française

France.

Né en 1857, Arthur Guyot d'Asnières de Salins est un militaire réputé qui joue comme général un rôle important lors de la bataille de Verdun en 1916.

Proposé à la succession du poste de Chef-Scout par Louis de Maud'huy lui même, il prendra ses fonctions en 1922.


Il consacra beaucoup de son temps à défendre le Scoutisme face à une église parfois très réfractaire, il rencontra donc la quasi totalité des évêques de France. On retiendra aussi son voyage à Rome en 1929 - qui fût un succès - où il alla présenter directement au pape Pie XI les bienfaits du scoutisme catholique en France.

Il assiste aupremier cours de Chamarande, qui se déroule du 31 mars au 9 avril 1923. Le père Sevin a noté combien sa présence, ses conseils et ses instructions furent un encouragement précieux pour tous les scouts de la 1° Chamarande. Lors du rallye du 4 novembre 1923, en présence du Commissaire Hubert Martin, Directeur du Bureau International et bras droit de Baden- Powell, le général de Salins ne craint pas de déclarer : « Certaines personnes, peu averties de notre oeuvre, s’étonnent cependant du nombre relativement restreint de nos groupements : 152 troupes affiliées, 60 en formation. C’est qu’elles connaissent mal le Scoutisme en général, et le Scoutisme catholique en particulier... Nous voulons que nos garçons soient des chrétiens d’élite, des chevaliers modernes, toujours prêts à servir Dieu, la Patrie, la famille. Un tel objet impose un travail en profondeur, inconciliable avec une trop rapide extension en surface. Celle-ci viendra plus tard, tout naturellement, à son heure. »


Le général DE SALINS préside le Conseil d’administration et le Comité de règlement qui dirige et centralise toutes les activités des Scouts de France. En 1925, il met sur pied le premier Congrès National des Chefs Scouts à Dijon. En août 1926, il représente, avec le père Sevin, la jeune Fédération au Congrès international de Kandersteg. Les SDF comptent alors 20 provinces, plus de 50 districts, 395 unités.

Il décède en 1936 et est enterré en uniforme Scout, comme il l'avait demandé.


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