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Issue d'une vieille famille provençale, née à Marseille en [[1895]], '''Anne-Marie de Demandolx-Dedons '''.  De santé très fragile apporte au tout jeune [[guidisme]] les fruits de son action dans le milieu de la mode et des petites couse, c'est une pionnière de l'action catholique féminine, notamment auprès des cousettes et courtières de grandes maisons. C'est dans ce contexte proche du "service social" catholique que certaines des premières compagnies se créent dès la fondation des [[Guides de France]], telle que la 4{{e}} Paris. Elle a la carte de membre n°4 du jeune mouvement. Elle organise, en août [[1926]], un camp avec de futures cheftaines à la Sainte-Baume malgré l'hostilité de l’évêque de Marseille.  
Issue d'une vieille famille provençale, née à Marseille en [[1895]], '''Anne-Marie de Demandolx-Dedons '''.  De santé très fragile, elle apporte au tout jeune [[guidisme]] les fruits de son action dans le milieu de la mode et des petites couse, c'est une pionnière de l'action catholique féminine, notamment auprès des cousettes et courtières de grandes maisons. C'est dans ce contexte proche du "service social" catholique que certaines des premières compagnies se créent dès la fondation des [[Guides de France]], telle que la 4{{e}} Paris. Elle a la carte de membre n°4 du jeune mouvement. Elle organise, en août [[1926]], un camp avec de futures cheftaines à la Sainte-Baume malgré l'hostilité de l’évêque de Marseille.  


Elle est secrétaire générale des GDF jusqu'en 1933 où elle regagne Marseille mais reste dans l'action sociale.
Elle est secrétaire générale des GDF jusqu'en 1933, année où elle regagne Marseille mais reste dans l'action sociale.


Son parcours illustre parfaitement l'engagement féminin dans le catholicisme social. "''Mlle de Mandolx''" a été animatrice de patronage populaire, adjointe d'[[Andrée Butillard]] à l’École normale sociale de Paris, responsable de l’UFCS ([[1933]]-[[1941]]), et cofondatrice, en [[1923]], du guidisme.
Son parcours illustre parfaitement l'engagement féminin dans le catholicisme social. "''Mlle de Mandolx''" a été animatrice de patronage populaire, adjointe d'[[Andrée Butillard]] à l’École normale sociale de Paris, responsable de l’UFCS ([[1933]]-[[1941]]), et cofondatrice, en [[1923]], du guidisme.

Version du 1 janvier 2021 à 22:27

Anne-Marie de Demandolx-Dedons
Anne-Marie de Demandolx-Dedons
28 mars 1895, Marseille · 11 novembre 1941, Marseille

Fondateur

Fondateur.

Personnalité guides de France

Guides de France.

Personnalité française

France.

Issue d'une vieille famille provençale, née à Marseille en 1895, Anne-Marie de Demandolx-Dedons . De santé très fragile, elle apporte au tout jeune guidisme les fruits de son action dans le milieu de la mode et des petites couse, c'est une pionnière de l'action catholique féminine, notamment auprès des cousettes et courtières de grandes maisons. C'est dans ce contexte proche du "service social" catholique que certaines des premières compagnies se créent dès la fondation des Guides de France, telle que la 4e Paris. Elle a la carte de membre n°4 du jeune mouvement. Elle organise, en août 1926, un camp avec de futures cheftaines à la Sainte-Baume malgré l'hostilité de l’évêque de Marseille.

Elle est secrétaire générale des GDF jusqu'en 1933, année où elle regagne Marseille mais reste dans l'action sociale.

Son parcours illustre parfaitement l'engagement féminin dans le catholicisme social. "Mlle de Mandolx" a été animatrice de patronage populaire, adjointe d'Andrée Butillard à l’École normale sociale de Paris, responsable de l’UFCS (1933-1941), et cofondatrice, en 1923, du guidisme.

Elle meurt en 1941.


Voir aussi

  • Anne-Marie de Demandolx-Dedons, apôtre Social - aux origines du Guidisme français, Mgr Francis Vincent, Paris 1949
  • revue Kim, 4ème trimestre 2020, biographie complète.