Modification de Éclaireuses et éclaireurs israélites de France
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Les Éclaireurs Israélites de France (EIF) ont été fondés en [[1923]] sur une idée du Grand Rabbin Maurice Liber qui déclara en [[1922]] lors d’un congrès international : | Les Éclaireurs Israélites de France (EIF) ont été fondés en [[1923]] sur une idée du Grand Rabbin Maurice Liber qui déclara en [[1922]] lors d’un congrès international : | ||
{{Citation|Les jeunes gens israélites doivent pratiquer le scoutisme [...] Le but et l’idéal sont les mêmes que ceux des organisations scoutistes qui veulent donner à la jeunesse une bonne santé physique et morale.|Grand Rabbin Maurice Liber, Congrès international, [[1922]]<ref>Maurice Liber cité par | {{Citation|Les jeunes gens israélites doivent pratiquer le scoutisme [...] Le but et l’idéal sont les mêmes que ceux des organisations scoutistes qui veulent donner à la jeunesse une bonne santé physique et morale.|Grand Rabbin Maurice Liber, Congrès international, [[1922]]<ref>Maurice Liber cité par Lucien Lazare, E.I.F : Les débuts du mouvement, Le Monde Juif, Revue d’Histoire de la Shoah, n° 161, op. cit. p 15.</ref>.}} | ||
[[Image:castor_chef_fleg.gif|200px|right|thumb|Castor et chef Fleg au jamboree de la Paix (Moisson, 1947)]] | [[Image:castor_chef_fleg.gif|200px|right|thumb|Castor et chef Fleg au jamboree de la Paix (Moisson, 1947)]] | ||
Le fondateur effectif est [[Robert Gamzon]], créateur de la première patrouille en 1923 à Versailles. [[Edmond Fleg]], puis [[Léo Cohn]] apportèrent chacun une contribution décisive à ce qui allait devenir le premier mouvement de jeunesse juive en France. Répondant aux aspirations de la jeunesse juive, ils connaissent une rapide extension dans l’Est de la France, puis dans le Sud et en Afrique du Nord, accueillant filles et garçons de toutes origines et de tous milieux. | Le fondateur effectif est [[Robert Gamzon]], créateur de la première patrouille en 1923 à Versailles. [[Edmond Fleg]], puis [[Léo Cohn]] apportèrent chacun une contribution décisive à ce qui allait devenir le premier mouvement de jeunesse juive en France. Répondant aux aspirations de la jeunesse juive, ils connaissent une rapide extension dans l’Est de la France, puis dans le Sud et en Afrique du Nord, accueillant filles et garçons de toutes origines et de tous milieux. |