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« Sainte Croix de Jérusalem » : différence entre les versions

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Reconnaissance canonique
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Progressivement un cercle de spiritualité se forme de façon informelle. Le P. Sevin accompagne dans un grand esprit surnaturel ce groupe de jeunes filles, toutes anciennes cheftaines. Le [[15 janvier]] [[1944]] a lieu la fondation du premier prieuré à Issy-les-Moulineaux. C'est le premier noyau de la future ''Sainte Croix de Jérusalem'', congrégation catholique contemplative et missionnaire au service de l’évangélisation et de l'éducation de la jeunesse, avec une forte coloration de  spiritualité scoute.  
Progressivement un cercle de spiritualité se forme de façon informelle. Le P. Sevin accompagne dans un grand esprit surnaturel ce groupe de jeunes filles, toutes anciennes cheftaines. Le [[15 janvier]] [[1944]] a lieu la fondation du premier prieuré à Issy-les-Moulineaux. C'est le premier noyau de la future ''Sainte Croix de Jérusalem'', congrégation catholique contemplative et missionnaire au service de l’évangélisation et de l'éducation de la jeunesse, avec une forte coloration de  spiritualité scoute.  
En [[1949]], le groupe obtient le statut de ''pieuse union diocésaine'' puis son statut canonique va se consolider. On peut désormais y voir la branche féminine de l'[[Ordre scout]] rêvé par le cofondateur des SDF.  
En [[1949]], le groupe obtient un premier statut de ''pieuse union diocésaine'', puis en [[1963]], Mgr [[Jean Rupp]] obtient la reconnaissance de la Sainte Croix de Jérusalem comme congrégation diocésaine. La branche féminine de l'[[Ordre scout]] rêvé par le cofondateur des SDF est lancée.  


[[Jacqueline Brière]] fut la première supérieure de la nouvelle congrégation. Mère Marie-Thérèse Toulouse, profondément marquée de l'esprit des commencements, lui succéda - elle connaissait le père depuis 1931-, puis Mère [[Madeleine Bourcereau]] fut la 3{{e}} prieure.
[[Jacqueline Brière]] fut la première supérieure de la nouvelle congrégation. Mère Marie-Thérèse Toulouse, profondément marquée de l'esprit des commencements, lui succéda - elle connaissait le père depuis 1931-, puis Mère [[Madeleine Bourcereau]] fut la 3{{e}} prieure.
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