Ah que nos pères
Cette chanson appartiendrait à la tradition de Haute-Bourgogne du XVIIIe siècle.
| |
Refrain — Couplets : 1 • 2 • 3 • 4 • 5 |
1er couplet
Ah que nos pères étaient heureux | bis |
Quant ils étaient à table.
Le vin coulait à côté d’eux | bis |
Ça leur était fort agréable.
•
Refrain
Et ils buvaient à pleins tonneaux,
Comme des trous, comme des trous, morbleu !
Bien autrement que nous, morbleu !
Bien autrement que nous !
•
2e couplet
Ils n’avaient ni riches buffets | bis |
Ni verres de Venise.
Mais ils avaient des gobelets | bis |
Aussi grands que leurs barbes grises.
•
Refrain
•
3e couplet
Ils ne savaient ni le latin | bis |
Ni la théologie.
Mais ils avaient le goût du vin | bis |
C’était là leur philosophie.
•
Refrain
•
4e couplet
Quand ils avaient quelques chagrins | bis |
Ou quelques maladies.
Ils plantaient là le médecin | bis |
Apothicaire et pharmacie.
•
Refrain
•
5e couplet
Celui qui planta le Provins | bis |
Au doux pays de France
Dans l’éclat du rubis divin | bis |
Il a planté notre espérance.
| ||
Auteur(s) | Inconnu | |
Écrit en | XVIIIe siècle | |
Licence |
Domaine public car l'auteur est mort (les auteurs sont morts) depuis plus de 70 ans*. | |
Écouter |
Liens internes[modifier | modifier le wikicode]
Ce chant a notamment été publié dans :
- Le Chansonnier des éclaireurs (, EDF, 1942), sans le 3e couplet, "Ils ne savaient ni le latin..."
- Diapason rouge (volume 1) (, SGDF, 2012), sous le titre Ah ! Que nos pères étaient heureux