« Scouts de France » : différence entre les versions

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L'association des '''Scouts de France''', créée en 1920 et dissoute en 2004, a été le principal mouvement de scoutisme en France. A la suite de la création du scoutisme par [[Baden-Powell]] à partir de 1907, le père [[Jacques Sevin]] fonde (avec d'autres) cette association de scoutisme catholique. Durant les années 1960, le mouvement connaît de profondes réformes, qui entraîneront le développement des [[AGSE|guides et scouts d'Europe]] et des [[SUF|scouts unitaires de France]].


L'association fusionne en [[2004]] avec les [[Guides de France]] pour fonder les [[Scouts et guides de France]].
= Histoire =
= Histoire =
== La genèse ==
== La genèse ==
A l'origine du scoutisme en France, la plupart des ecclésiastiques s'opposent à lui pour plusieurs raisons : [[Robert Baden-Powell|Baden-Powell]] est un anglais protestant réputé en plus franc-maçon (de par son inspiration de [[Rudyard Kipling|Kipling]]) et les premiers scouts français sont a-confessionnels (Éclaireurs de France ou Éclaireurs français) ou protestants (Éclaireurs unionistes) entre autres.
A l'origine du scoutisme en France, la plupart des ecclésiastiques s'opposent à lui pour plusieurs raisons : [[Robert Baden-Powell|Baden-Powell]] est un anglais protestant réputé en plus franc-maçon (de par son inspiration de [[Rudyard Kipling|Kipling]]) et les premiers scouts français sont aconfessionnels (Éclaireurs de France ou Éclaireurs français) ou protestants (Éclaireurs unionistes) entre autres.


Quelques unités catholiques sont créées cependant ça et là :
Quelques unités catholiques sont créées cependant ça et là :
*A Nice, en [[1910]], les [[Éclaireurs des Alpes]] de l'[[Augustin-Marie d'Andréis de Bonson|abbé Andréis]] voient le jour ;
*à Nice, en [[1910]], les [[Éclaireurs des Alpes]] de l'[[Augustin-Marie d'Andréis de Bonson|Abbé Andréis]] voient le jour ;
*Au Creusot, en [[1911]] avec [[Louis Faure]] ;
*au Creusot, en [[1911]] avec [[Louis Faure]] ;
*A Paris, en [[1913]] avec [[Henri Gasnier]].
*à Paris, en [[1913]] avec [[Henri Gasnier]].


En [[1916]], [[Paul Coze|Paul]] et Marcel Coze (16 ans tout les deux) décident avec l'[[Antoine-Louis Cornette|abbé Cornette]] de fonder les [[Entraîneurs catholiques de France]]. L'action du [[Jacques Sevin|père Sevin]] et de l'[[Antoine-Louis Cornette|abbé Cornette]] sera déterminante. Le père Sevin a fait plusieurs voyages en Angleterre notamment pour y préparer une maîtrise d'anglais, il en profite pour rencontrer Baden-Powell en [[1913]], il accumule ainsi de nombreuses notes et observations. Durant la première guerre mondiale, il est bloqué en Belgique, il y complète sa documentation et lance ses premiers camps scouts avec des jeunes de [[Mouscron]]. De retour en France après la guerre, il fonde une troupe à Lille. Il rencontre le [[Antoine-Louis Cornette|chanoine Cornette]] en [[1919]]. Ensemble, ils fondent la Fédération des Scouts de France le [[25 juillet]] [[1920]]. Sont présents:
En [[1916]], [[Paul Coze|Paul]] et Marcel Coze (16 ans tous les deux) décident avec l'[[Antoine-Louis Cornette|abbé Cornette]] de fonder les [[Entraîneurs catholiques de France]]. L'action du [[Jacques Sevin|père Sevin]] et de l'[[Antoine-Louis Cornette|abbé Cornette]] sera déterminante. Le père Sevin a fait plusieurs voyages en Angleterre notamment pour y préparer une maîtrise d'anglais, il en profite pour rencontrer Baden-Powell en [[1913]], il accumule ainsi de nombreuses notes et observations. Durant la première guerre mondiale, il est bloqué en Belgique, il y complète sa documentation et lance ses premiers camps scouts avec des jeunes de [[Mouscron]]. L'apport du scoutisme catholique belge à la naissance des SDF reste à évaluer mais a du être importante.
#Le [[général de Maud’huy]], Chef-Scout;


#Le [[chanoine Cornette]], Aumônier du Groupe Saint-Honoré d’Eylau, Aumônier  Général;
De retour en France après la guerre, le père Sevin fonde une troupe à Lille. Il rencontre le [[Antoine-Louis Cornette|chanoine Cornette]] en [[1919]]. Ensemble, ils fondent la Fédération des Scouts de France le [[25 juillet]] [[1920]]. Sont présents :
 
#Le général [[Louis Ernest de Maud'huy]], Chef-Scout ;
#[[Edouard de Macedo]], Chef du Groupe de Saint- Honoré d’Eylau
#Le [[chanoine Cornette]], Aumônier du Groupe Saint-Honoré d’Eylau, Aumônier  Général ;
#Le [[Père Sevin]]
#[[Edouard de Macedo]], Chef du Groupe de Saint- Honoré d’Eylau ;
#L'[[abbé Caillet]], Aumônier du Groupe du Rosaire;
#Le [[Père Sevin]] ;
#[[Henry Gasnier]], Chef du Groupe du Rosaire, à Paris;
#L'[[Marcel Caillet |abbé Caillet]], Aumônier du Groupe du Rosaire ;
#[[Henri Gasnier]], Chef du Groupe du Rosaire, à Paris ;
#[[Lucien Goualle]], Chef du Groupe de l’Immaculée Conception à Paris;
#[[Lucien Goualle]], Chef du Groupe de l’Immaculée Conception à Paris;
#L'[[abbé de Grangeneuve]], Aumônier du Groupe de l’Immaculée-Conception;
#L'[[abbé de Grangeneuve]], Aumônier du Groupe de l’Immaculée-Conception;
#[[Xavier Sarrazin]], Chef du 1er Groupe de Lille;
#[[Xavier Sarrazin]], Chef du 1{{er}} Groupe de Lille ;
#[[Joseph Delattre]], trésorier.
#[[Joseph Delattre]], trésorier.


L'existence officielle dès avant 1914 d'un scoutisme catholique belge, situation  que connait bien le P. Sevin, a permis de désarmer les milieux hostiles.
 
 
L'existence officielle dès avant 1914 d'un scoutisme catholique belge, situation  que connait bien le P.Sevin,a permis de désarmer les milieux hostiles.


== Les premières années ==
== Les premières années ==
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De nombreuses unités sont fondées en province et rejoignent la fédération. A l'été 1921, les premiers responsables SDF participent au camp-école de [[Francport]] où ils rencontrent des EDF et des EUF.
De nombreuses unités sont fondées en province et rejoignent la fédération. A l'été 1921, les premiers responsables SDF participent au camp-école de [[Francport]] où ils rencontrent des EDF et des EUF.


Avant l'été [[1922]], il y a trois commissaires régionaux (puis provinciaux), la revue ''[[Le Chef (revue SDF)|Le Chef]]'' est lancée. En [[1923]], Le Père [[Jacques Sevin]], diplômé du camp école international de [[Gilwell Park|Gilwell]], fonde en France le camp de formation de [[Chamarande (centre de formation)|Chamarande]] ; le mouvement compte alors 3000 membres. La même année le jeune scoutisme catholique est vivement attaqué par le Père [[Henri Jeoffroid]]. En [[1926]], les Scouts de France sont 8000 répartis dans 60 diocèses sur 80 (à l'insu de l'évêque pour certains d'entre eux), voir Mgr [[Théophile Louvard]]. Ils sont 24 000 en [[1930]] mais l'[[Association catholique de la jeunesse française]] ne les soutient pas partout. Bref les SDF restent un objet de méfiance de la part de certains milieux catholiques. Voir:  XXX, L'Eglise catholique en France, Le Mercure de France, 1932.
Avant l'été [[1922]], il y a trois commissaires régionaux (puis provinciaux), la revue ''[[Le Chef (revue SDF)|Le Chef]]'' est lancée. En [[1923]], Le Père [[Jacques Sevin]], diplômé du camp école international de [[Gilwell Park|Gilwell]], fonde en France le camp de formation de [[Chamarande (centre de formation)|Chamarande]] ; le mouvement compte alors 3000 membres. La même année le jeune scoutisme catholique est vivement attaqué par le Père [[Henri Jeoffroid]]. En [[1926]], les Scouts de France sont 8000 répartis dans 60 diocèses sur 80 (à l'insu de l'évêque pour certains d'entre eux), voir Mgr [[Théophile Louvard]]. Ils sont 24 000 en [[1930]] mais l'[[Association catholique de la jeunesse française]] ne les soutient pas partout. Bref les SDF restent un objet de méfiance de la part de certains milieux catholiques<ref>{{Ouvrage|titre=L'Eglise catholique en France|éditeur=Le Mercure de France|année=1932|lieu=Paris}}</ref>.


En [[1924]] est fondé le premier clan routier, le [[Paul Doncœur|père Doncœur]] s'occupera bientôt de cette branche, il relancera notamment la tradition des pèlerinages à pied. Entre temps, l'épiscopat reconsidère sa position face au succès croissant du scoutisme catholique. En [[1927]], l'association est reconnue d'utilité publique. Le Père [[Jacques Sevin]] est évincé de son poste de [[Mestre de camp]] de [[Chamarande (centre de formation)|Chamarande]] en [[1933]]. A la veille de la guerre, en 1939, l'association regroupe {{formatnum:72000}} membres.
En [[1924]] est fondé le premier clan routier, le [[Paul Doncœur|père Doncœur]] s'occupera bientôt de cette branche, il relancera notamment la tradition des pèlerinages à pied. Entre temps, l'épiscopat reconsidère sa position face au succès croissant du scoutisme catholique. En [[1927]], l'association est reconnue d'utilité publique. Le Père [[Jacques Sevin]] est évincé de son poste de [[Mestre de camp]] de [[Chamarande (centre de formation)|Chamarande]] en [[1933]]. A la veille de la guerre, en 1939, l'association regroupe {{formatnum:72000}} membres.
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== L'époque de la déchirure ==
== L'époque de la déchirure ==


L'échelon national s'interroge sur la manière d'actualiser le scoutisme par rapport à son époque. Dans cet esprit sont lancées des expérimentations comme l'[[Entreprise 62]]. Puis, en [[1963]], suite à l'assemblée générale, la branche [[éclaireurs (Scouts de France)|éclaireurs]] (12-17 ans) est réformée. Elle est séparée en deux branches : la branche [[pionniers (SdF)|pionnier]] (15-17 ans) où l'on porte la chemise rouge, et la branche [[scouts (SdF)|rangers]] (12-14 ans) où l'on porte la chemise bleue. La promesse scoute qui était prononcée peu après l'entrée ou la [[montée]], soit vers 12 ans est prononcée désormais chez les pionniers, branche de l'accomplissement. Le modèle donné aux jeunes est le constructeur (publication de ''L'école du chantier'', par [[François Lebouteux]]), le programme est essentiellement tourné vers la réalisation d'un projet. Cette réforme a pour but d'insuffler le dynamisme des unités [[raiders]] à l'ensemble des unités du mouvement. Dans ce qui n'est plus vraiment le [[Q.G]] une équipe constituée en dehors du scoutisme prépare le programme de la branche rangers.
L'échelon national s'interroge sur la manière d'actualiser le scoutisme par rapport à son époque. Dans cet esprit sont lancées des expérimentations comme l'[[Entreprise 62]]. Puis, en [[1963]], suite à l'assemblée générale, la branche [[éclaireurs (Scouts de France)|éclaireurs]] (12-17 ans) est réformée. Elle est [[Séparation de la branche éclaireurs chez les scouts de France|séparée en deux branches]] : la branche [[pionniers (SdF)|pionnier]] (15-17 ans) où l'on porte la chemise rouge, et la branche [[scouts (SdF)|rangers]] (12-14 ans) où l'on porte la chemise bleue. La promesse scoute qui était prononcée peu après l'entrée ou la [[montée]], soit vers 12 ans est prononcée désormais chez les pionniers, branche de l'accomplissement. Le modèle donné aux jeunes est le constructeur (publication de ''L'école du chantier'', par [[François Lebouteux]]), le programme est essentiellement tourné vers la réalisation d'un projet. Cette réforme avait pour but d'insuffler le dynamisme des unités [[raiders]] à l'ensemble des unités du mouvement, tout en les modernisant. Dans ce qui n'est plus vraiment le [[Q.G]], une équipe constituée en dehors du scoutisme prépare le programme de la branche rangers.


Ce changement n'est pas du goût de tous et est à l'origine d'un certain nombre des divisions actuelles du scoutisme catholique français. Un groupe « ''[[Réflexions de scoutmestres]]'' » est fondé. Devant l'impossibilité de faire cohabiter système unitaire et système réformé (bien que pendant 30 ans quelques troupes "unitaires" -environ 30 au début des années 1980- resteront au sein de l'association SDF, tolérées par la hiérarchie sous réserve de discrétion), certains quittent l'association (les effectifs des [[Fédération du Scoutisme Européen|Scouts d'Europe]] s'envolent à cette époque), ou partent fonder les [[Scouts Unitaires de France]] en [[1971]].
Ce changement n'est pas du goût de tous et est à l'origine d'un certain nombre des divisions actuelles du scoutisme catholique français. Un groupe « ''[[Réflexions de scoutmestres]]'' » est fondé. Différents articles, [[Association pour le soutien du scoutisme|revues]] et [[Scout ou Pionniers ? ou les raisons d'un choix|brochures s'opposent]] à cette réforme. Devant l'impossibilité de faire cohabiter système unitaire et système réformé (bien que pendant 30 ans quelques troupes "unitaires" -environ 30 au début des années 1980- resteront au sein de l'association SDF, tolérées par la hiérarchie sous réserve de discrétion), certains quittent l'association rejoignant les [[Fédération du Scoutisme Européen|Scouts d'Europe]] (dont les effectifs décollent à cette époque), fondant les [[scouts saint Georges]], ou d'autre groupes autonomes, ou finalement laçant les [[Scouts Unitaires de France]] en [[1971]].


En parallèle avec cette mutation interne d'importance la société française subit de nombreux évènements (concile Vatican II, évènements de Mai [[1968|68]], urbanisation) et les Scouts de France n'en ressortent pas indemnes. Au-delà de la fracture avec les [[Scouts unitaires de France]], l'association subit une forte chute du nombre d'adhérents, a des difficultés financières, supprime des revues et des activités.
En parallèle avec cette mutation interne d'importance la société française subit de nombreux évènements (concile Vatican II, évènements de Mai [[1968|68]], urbanisation) et les Scouts de France n'en ressortent pas indemnes. Au-delà de la fracture avec les [[Scouts unitaires de France]] en 1971, l'association subit une forte chute du nombre d'adhérents, perdant près de la moitié de ses effectifs, et a des difficultés financières ; elle va alors supprimer des revues et des activités.


== La reconstruction ==
== La reconstruction ==
[[Image:sdf2.svg|150px|thumb|right]]
[[Image:sdf2.svg|150px|thumb|right]]
Les années [[1970|70]] sont marquées par un grand travail de réflexion en profondeur sur le mouvement ainsi que sur la formation des chefs et cheftaines.  
Les années [[1970|70]] sont marquées par un grand travail de réflexion en profondeur sur le mouvement ainsi que sur la formation des chefs et cheftaines. La démarche de réflexion entamé dés la fin des années [[1960|60]] aboutit en [[1973]] à l' '''Appel à l'Espérance''' et au rassemblement de 10 000 responsables à [[La Trivalle]]. Néanmoins la crise du recrutement persiste et même s'amplifie, 1978 est l'année la plus noire.
La démarche de réflexion entamé dés la fin des années [[1960|60]] aboutit en [[1973]] à l' '''Appel à l'Espérance''' et au rassemblement de 10 000 responsables à [[La Trivalle]]. Néanmoins la crise du recrutement persiste et même s'amplifie, 1978 est l'année la plus noire.


Les [[Journées Nationales]] de [[1978]] réunissent 4 000 chefs et cheftaines. La proposition '''SDF service''' est lancé. La [[Charte des Scouts de France]] est écrite pour l'engagement des cadres du mouvement.
Les [[Journées Nationales]] de [[1978]] réunissent 4 000 chefs et cheftaines. La proposition '''SDF service''' est lancé. La [[Charte des Scouts de France]] est écrite pour l'engagement des cadres du mouvement. Un rapprochement est tenté en [[1976]] avec les [[Guides de France]] mais la peur de la perte de l'identité propre du [[guidisme]] fait avorter le projet en [[1981]]. Voir [[Fusion SDF-GDF]]  
Un rapprochement est tenté en [[1976]] avec les [[Guides de France]] mais la peur de la perte de l'identité propre du [[guidisme]] fait avorter le projet en [[1981]]. Voir [[Fusion SDF-GDF]]  
En [[1979]], un plan triennal d'orientation conduit les quatre branches (Louveteaux, Scouts, Pionniers, Compagnons) à préciser leurs pédagogies.  Et les années [[1980|80]] voient les effectifs de l'association remonter.  
En [[1979]], un plan triennal d'orientation conduit les quatre branches (Louveteaux, Scouts, Pionniers, Compagnons) à préciser leurs pédagogies.  Et les années [[1980|80]] voient les effectifs de l'association remonter.  


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* [[Liste des commissaires généraux des scouts de France|Liste des commissaires généraux des Scouts de France]]
* [[Liste des commissaires généraux des scouts de France|Liste des commissaires généraux des Scouts de France]]
* [[Liste des aumôniers généraux des scouts de France‎|Liste des aumôniers généraux des Scouts de France‎]]
* [[Liste des aumôniers généraux des scouts de France‎|Liste des aumôniers généraux des Scouts de France‎]]
* [[Liste des présidents des scouts de France|Liste des présidents des Scouts de France]]
* [[Chronologie des commissaires nationaux SDF|Chronologie des commissaires nationaux des Scouts de France]]
* [[Chronologie des commissaires nationaux SDF|Chronologie des commissaires nationaux des Scouts de France]]
* [[Liste des anciennes lois des scouts de France et des guides de France]]
* [[Liste des anciennes lois des scouts de France et des guides de France]]
* [[Liste des calendriers des scouts de France]]
* [[Liste des calendriers des scouts de France]]
* [[Région des Scouts de France]]


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{{références}}
 
1. XXX, L'Eglise catholique en France, Le Mercure de France, 1932.
 
{{navigation SDF}}
{{navigation SDF}}
{{Portail mouvements|portail histoire}}
{{Portail mouvements|portail histoire}}
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[[Catégorie:Histoire du scoutisme en France]]
[[Catégorie:Histoire du scoutisme en France]]
[[Catégorie:Scouts de France|*]]
[[Catégorie:Scouts de France|*]]
[[Catégorie:Ancien mouvement]]
[[Catégorie:Ancien mouvement français]]
 
[[en:Scouts de France]]
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