« Georgette Siegrist » : différence entre les versions

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À partir de [[1919]] elle donne la plus grande partie de son temps aux Éclaireuses. Son totem est alors ''Hibou japonais''.
À partir de [[1919]] elle donne la plus grande partie de son temps aux Éclaireuses. Son totem est alors ''Hibou japonais''.


En [[1921]], Georgette Siegrist est élue commissaire nationale lors de la réunion de cheftaines d'Épinal. L’équipe de responsables nationales appelées « La Main », se forme ainsi avec [[Violette Mouchon]], [[Marguerite Walther]] et [[Renée Sainte-Claire Deville]], [[Madeleine Beley]] et elle-même, principale organisatrice et réalisatrice. Elle met ainsi sur pied l’administration de la [[Fédération française des éclaireuses]] (FFE). Après la mort de sa mère en [[1923]], elle se consacre à plein temps à cette tâche. En [[1931]], son état de santé la force à renoncer à ce mode de vie trop fatiguant. [[Marguerite Walther]] lui succède.  
En [[1921]], Georgette Siegrist est élue commissaire nationale lors de la réunion de cheftaines d'Épinal. L’équipe de responsables nationales appelées « La Main », se forme ainsi avec [[Violette Mouchon]], [[Marguerite Walther]] et [[Renée Sainte-Claire Deville]], [[Madeleine Beley]] et elle-même, principale organisatrice et réalisatrice. Elle met ainsi sur pied l’administration de la [[Fédération française des éclaireuses]] (FFE). Après la mort de sa mère en [[1923]], elle se consacre à plein temps à cette tâche. En [[1931]], son état de santé la force à renoncer à ce mode de vie trop fatigant. [[Marguerite Walther]] lui succède.  


Pendant son immobilité forcée, Georgette Siegrist crée le mouvement des Éclaireuses disséminées (malades), une forme de l'[[Extension]]. De [[1937]] à [[1939]], elle dirige un centre professionnel de jeunes chômeuses sur demande du ministère du Travail et par délégation de la [[FFE]]. En [[1940]], Suzanne de Dietrich du Conseil protestant de la jeunesse fait appel à elle pour s’occuper des alsaciens-lorrains évacués en Périgord et en Limousin. Elle s’y emploie avec quelques responsables des mouvements de jeunesse protestants. Ce sont les débuts de la ''CIMADE'' [[http://fr.wikipedia.org/wiki/Cimade]]. Elle se retire en [[1943]] dans la Drôme où elle rend des services orientés vers la formation de la jeunesse, mettant ses dons variés et sa force de persuasion dans ce que sa santé lui permettait encore de réaliser. Elle meurt le [[31 mars]] [[1981]] dans la Drôme.
Pendant son immobilité forcée, Georgette Siegrist crée le mouvement des Éclaireuses disséminées (malades), une forme de l'[[Extension]]. De [[1937]] à [[1939]], elle dirige un centre professionnel de jeunes chômeuses sur demande du ministère du Travail et par délégation de la [[FFE]]. En [[1940]], Suzanne de Dietrich du Conseil protestant de la jeunesse fait appel à elle pour s’occuper des alsaciens-lorrains évacués en Périgord et en Limousin. Elle s’y emploie avec quelques responsables des mouvements de jeunesse protestants. Ce sont les débuts de la ''CIMADE'' [[http://fr.wikipedia.org/wiki/Cimade]]. Elle se retire en [[1943]] dans la Drôme où elle rend des services orientés vers la formation de la jeunesse, mettant ses dons variés et sa force de persuasion dans ce que sa santé lui permettait encore de réaliser. Elle meurt le [[31 mars]] [[1981]] dans la Drôme.
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